En 1918, pendant la 1ère guerre mondiale, les eaux autour de cette île ont été témoins de l’engagement courageux de deux petits navires de la Marine qui ont obtenu un résultat d’une grande pertinence, tant d’un point de vue tactique qu’émotionnel. L’action a eu lieu à l’aube du 10 juin près de l’île, où les MAS (Motoscafo Armato Silurante) “15” et “21” aux ordres respectivement du capitaine de Corvette Luigi RIZZO et l’enseigne Giuseppe AONZO, ont attaqué une puissante formation navale autrichienne coulant le cuirassé “Szent Istvan”
(Saint Stephen).
Au cours de cette dernière année de guerre, l ‘”exploit de Premuda” accompli par ces marins italiens a été si remarquable en revigorant l’esprit des soldats sur le front de terre et de l’ensemble de la population afin d’être crucial pour la victoire finale.
Pour cette raison, le 10 juin est le JOUR DE LA MARINE MILITAIRE ITALIENNE.
PREMUDA è una piccola isola della Croazia situata nel mare Adriatico a sud di Lussino e appartenente al territorio di Zara. Oggi vi risiedono 64 abitanti.
Nel 1918, durante la 1^ Guerra Mondiale, le acque attorno a quest’isola furono testimoni
della coraggiosa l’impresa di due piccoli mezzi navali della Marina Militare che ottennero un risultato di grande rilevanza, sia sotto il profilo tattico sia sul piano emotivo. L’ azione avvenne all’alba del 10 giugno nei pressi dell’isola, dove i MAS (Motoscafo Armato Silurante) “15” e “21” al comando, rispettivamente, del Capitano di Corvetta Luigi RIZZO e del Guardiamarina di complemento Giuseppe AONZO, attaccarono una potente formazione navale austriaca affondando la corazzata “Szent Istvan”
(Santo Stefano).
In quell’ultimo anno di guerra l’ “impresa di Premuda” compiuta da quei pochi marinai italiani fu così notevole nel rinvigorire lo spirito dei soldati sul fronte terrestre e della intera popolazione tanto da risultare cruciale per la vittoria finale.
Per questo il 10 giugno è la GIORNATA DELLA MARINA MILITARE ITALIANA.
Pasquale et Paolo au moment du voyage vers l’île qui n’est pas là
Une fois, quand j’étais plus jeune, je pensais qu’il fallait toujours regarder en avant et ne jamais regarder en arrière, aujourd’hui que je suis différemment jeune, je suis convaincu que pour progresser, il ne faut jamais perdre de vue le passé, les expériences et les faits vécus; ce n’est qu’ainsi que nous pourrons être sûr de la route qui reste à parcourir qui, bien que la longueur et la distance, les difficultés, les aspérités et les insécurités atténuées par la connaissance d’un chemin, jalousement gardé par notre subconscient, qui nous aide encore en quelque sorte.
Et au cours d’un de ces exercices de nostalgie spirituelle, je suis revenu, traversant l’espace-temps qui s’est soudainement ouvert devant moi, au milieu des années 80, lorsqu’un jeune commissaire à bord du navire de la marine italienne, l’amiral Magnaghi, avec le jeune lieutenant de Vaisseau, excellent hydrographe et scientifique, Paolo Giannetti, plus connu sous le nom de commandant Bitta, ont plongè dans une recherche réelle et non fictive de l’île qui n’est pas là; oui, l’île qui n’est pas celle du capitaine Hook et de Peter Pan, celle d’Eduardo Bennato, ou même de Tommaso Moro qui a dècrit une île, appelée Utopia , qui n’aurait jamais existé.
Pasquale, m’a dit Paolo, aujourd’hui je t’emmène dans un lieu extraordinaire, Je l’ai regardé avec méfiance car normalement les “officiers des vaisseaux hypertendus” (comme j’aimais à les appeler ) avaient coutume de se moquer des commissaires et normalement, quand j’étais libre de mes fonctions de commissaire, et pendant la navigation, cela se produisait souvent, ils m’ont demandé les choses les plus étranges, comme déposer une batterie de 20 kg, portèe sur mes épaules, au phare de la Madone sur l’île de Ponza, après avoir franchi 300 marches; ou m’abandonner de garde sous le soleil et en maillot de bain, à une station géo sur l’île inhabitée de Zannone de midi à minuit ou récupèrer un système radio dans le ressac du rocher de la Botte, entre Ponza et Palmarola à 10 mètres de profondeur . Mais cette fois, le bon commandant Bitta ne s’est pas moqué de moi, et après Etre arrivé à environ 20 milles au sud de Sciacca, l’ancre bien amarrèe, nous avons mis un bateau hydrographique par-dessus bord qui a immédiatement révélé une profondeur d’environ 8 mètres, là où au lieu de cela le bathymétrique prècisait 200 mètres. La mer était bleue comme seule la mer de Sicile, transparente aux reflets des rayons du soleil sur les rochers marins, et la scénographie etait complétée par la faune et la flore marines, les posidonies, les dorades, les guarracinis, les rougets, un paradis inattendu pour les amoureux de la mer.
Ici Pasquale, dit Paolo, c’est l’île qui n’existe pas et qui existe vraiment. Nous étions sur l’île de Ferdinandea qui a été vue émergeant de la mer le 7 juillet 1831, par F. Trefiletti, commandant de Gustavo, au milieu d’explosions de cendres et de lapilli.
Ainsi naquit l’île Ferdinandea, ainsi appelée plus tard, un volcan sous-marin entièrement italien. La phase initiale a été extrêmement explosive, elle pouvait également être bien vue des côtes siciliennes, puis lorsque l’île a commencé à se développer et que le magma s’est isolé de la mer, les explosions ont pris fin et l’éruption a pris des connotations plus pacifiques. En quelques semaines, la nouvelle île a atteint 65 mètres de hauteur et sa surface a atteint 4 kilomètres carrés, une surface très similaire à celle de l’île actuelle de Procida dans le golfe de Naples. L’éruption a pris fin le 20 août 1831.
À partir de ce moment, une histoire complètement différente commence, l’île a en effet suscité l’intérêt de certaines puissances européennes étrangères, qui en Méditerranée recherchaient des points stratégiques pour le débarquement de leurs flottes, marchandes et militaires. Le 24 août, le capitaine Jenhouse est arrivé sur les lieux, qui y a planté le drapeau britannique, appelant l’île «Graham». Le 26 septembre, la France, pour contrer l’action britannique, envoie la brigantine La Flèche qui la rebaptise “Iulia”. Le roi Ferdinand II, constatant l’intérêt international que l’île avait suscité, envoya la corvette Etna sous le commandement du capitaine Corrao qui, étant descendu sur l’île, planta le drapeau Bourbon baptisant l’île “Ferdinandea”. Mais à qui appartenait vraiment ce petit bout de terre né à quelques kilomètres de la côte sicilienne?
La targa sottomarina a perenne ricordo dell’Isola
Ironie du genre alors que les prétendants se disputaient encore à propos de l’os trouvé, alors qu’il était sorti de la mer, l’île commença donc à couler jusqu’au 8 décembre complètement disparue sous la surface. Plus tard en 1846 et 1863, l’îlot réapparut à la surface, puis disparut de nouveau. Avec le tremblement de terre au Belice, les eaux entourant le banc Graham étaient devenues nuageuses et bouillonnantes, ce qui a été interprété comme un signal probable que l’île de Ferdinandea allait refaire surface. Ce ne fut pas le cas.
Pour éviter les malentendus, les Siciliens ont placé une plaque de pierre à la surface de la rive sous-marine, sur laquelle nous pouvons lire : «Cette bande de terre est l’île de Ferdinandea et appartiendra toujours du peuple sicilien » .
Pasqualee Paolo all’epoca del viaggio sull’isola che non c’è
Una volta, quando ero più giovane credevo che bisognava guardare sempre avanti e mai voltarsi indietro, oggi invece che già da tempo ho passato la maturità, sentendomi diversamente giovane, sono convinto che per progredire non bisogna mai perdere di vista il passato, l’esperienze e i fatti vissuti; solo così potremmo essere sicuri della strada ancora da percorrere che, anche se ancora ignota la lunghezza e la percorrenza, le difficoltà , le asperità e le insicurezze mitigate dalle conoscenze di una vita, gelosamente custodite dal nostro subconscio, che ci vengono in aiuto in modo inatteso.
E durante uno di questi miei esercizi di nostalgia spirituale, sono ritornato, attraversando lo spazio temporale che si è improvvisamente aperto davanti a me, alla metà degli anni 80, quando giovane Commissario di Bordo sulla nave della Marina Militare Italiana, Ammiraglio Magnaghi, con il giovane tenente di Vascello , eccellente Idrografo e scienziato,Paolo Giannetti, meglio noto come il Comandante Bitta, incrociavamo tra Mazara del Vallo e Pantelleria, alla ricerca reale e non fittizia dell’isola che non c’è; si, l’isola che non c’è quella del Capitano Uncino e Peter Pan, quella di EduardoBennato, od anche di Tommaso Moro che preconizzava di un’isola chiamata Utopia che non sarebbe mai esistita.
–Pasquale, mi disse Paolo, oggi ti porto in un posto straordinario, – lo guardai diffidente perché normalmente i ” vascellonici ipertesi “( come io chiamavo gli ufficiali di vascello) avevano la consuetudine di prendersi gioco dei commissari e normalmente, quando ero libero dagli incarichi di commissariato, ed in navigazione ciò si verificava spesso, mi chiedevano le cose più strane tipo depositare una batteria di 20 Kg a spalla sul faro della Madonna all’isola di Ponza, dopo essermi sobbarcato 300 scalini , o abbandonarmi di guardia, sotto al sole ed in costume da bagno, ad un impianto di geo stazionamento sull’isola disabitata di Zannone da mezzogiorno a mezzanotte o farmi recuperare un impianto radio travolto dalla risacca allo scoglio della Botte, tra Ponza e Palmarola a 10 metri di profondità; Ma questa volta il buon comandante Bitta non si prese gioco di me, ed arrivati a circa 20 miglia a sud di Sciacca, calata l’ancora, mettemmo a mare una imbarcazione idrografica che subito rivelò un fondale di circa 8 metri li dove invece insisteva la batimetrica dei 200 metri. Il mare era azzurro come solo il mare di Sicilia è, trasparente ai riflessi dei raggi solari sulle rocce marine, e completavano la scenografia comlplementi di flora e fauna marina, poseidonie, orate, guarracini, triglie, un paradiso inatteso per gli amanti del mare;-Ecco Pasquale, disse Paolo, questa è l’isola che non c’è ed esiste realmente. Ci trovavamo sopra l’isola Ferdinandea che fu vista spuntare dal mare il 7 luglio 1831, da F. Trefiletti, comandante del Gustavo, tra esplosioni di cenere e lapilli.
Nasceva così l’isola Ferdinandea, così chiamata in seguito, un vulcano sottomarino tutto italiano. La fase iniziale fu estremamente esplosiva, si poteva vedere bene anche dalle coste siciliane, poi quando l’isola cominciò a crescere e il magma si isolò dal mare, le esplosioni terminarono e l’eruzione assunse connotati più tranquilli. In poche settimane la nuova isola si sollevò fino a 65m di altezza e la sua superficie arrivò a 4 chilometri quadrati, una superficie molto simile a quella dell’attuale isola di Procida nel Golfo di Napoli. L’eruzione terminò il 20 Agosto 1831.
Da quel momento in poi comincia una storia tutta diversa, l’isoletta suscitò infatti l’interesse di alcune potenze straniere europee, che nel mar Mediterraneo cercavano punti strategici per gli approdi delle loro flotte, sia mercantili che militari. Il 24 agosto giunse sul posto il capitano Jenhouse, che vi piantò la bandiera britannica, chiamando l’isola “Graham“. Il 26 settembre la Francia, per contrastare l’azione inglese, inviò il brigantino La Fleche che la ribattezzò “Iulia“. Il re Ferdinando II constatando l’interesse internazionale che l’isoletta aveva suscitato, inviò sul posto la corvetta bombardiera Etna al comando del capitano Corrao il quale, sceso sull’isola, piantò la bandiera borbonica battezzando l’isola “Ferdinandea“. Ma a chi apparteneva veramente quel piccolo lembo di terra nato a pochi chilometri dalle coste siciliane?
Ironia della sorta mentre i contendenti ancora litigavano per l’osso ritrovato, così come era venuta fuori dal mare, così, l’isoletta cominciò a inabissarsi finché l’8 Dicembre non scomparve completamente sotto la superficie. In seguito nel 1846 e nel 1863 l’isoletta è riapparsa ancora in superficie, per poi scomparire nuovamente. Con il terremoto del Belice le acque circostanti il banco di Graham furono viste intorbidirsi e ribollire, cosa che venne interpretata come un probabile segnale che l’isola Ferdinandea stesse per riemergere. Così non fu. A scanso di equivoci i siciliani posero sulla superficie del banco sottomarino una targa in pietra, sulla quale si legge: « Questo lembo di terra una volta isola Ferdinandea era e sarà sempre del popolo siciliano. »
Non voglio annoiare il lettore ed essere pedissequo petulante noioso ecc..ecc. né parlare ex cathedra ma come un napoletano nel cuore e nell’animo amante della bella Procida che da anni mi accoglie e mi ospita, proteggendomi, fatte le dovute eccezioni dei mesi estivi, dal caos tormentato della città, conciliandomi meditazioni e pensieri rivolti verso un umanesimo sempre più carente ai giorni d’oggi.
Leggevo ieri un giornale, e riflettevo sul fatto che a Parigi pensano di proibire dal 2030 la circolazione delle auto a benzina.
Spunto di riflessione:- a Parigi dal 2030? E perché non a Procida nell’imminente? Si proprio Procida perché non riesco ad individuare altro posto più idoneo di quello dell’isola di Arturo per iniziare in concreto a tutelare la salute di noi, miseri mortali, costringendoci ad una mobilità non inquinante ed ecologica : Si perché più passa il tempo e più mi rendo conto che una forma di masochismo incombe sul genere umano che per essere invogliato a far cose utili per se stesso, spesso deve esserne obbligato.
Eh si mica sono tanti quelli poi che accetterebbero di non utilizzare l’automobile ed usare il mezzo pubblico, con le scuse più varie ma anche spesso molto realistiche (vetustà e rumorosità dei mezzi, un atteggiamento spesso burbero degli operatori, scomodità.)
Iniziamo quindi dal servizio pubblico infatti per tutto c’è un inizio, basta avere chiaro nella testa da dove cominciare ed a Procida il servizio pubblico sarebbe la perfetta sperimentazione per una mobilità sopportabile e non inquinante, visto che sia le dimensioni dei bus che la lunghezza delle tratte non sono un ostacolo all’utilizzo della motorizzazione elettrica, come già avviene nei centri storici delle grandi città e L’isola, …… è tutta un centro storico; le dimensioni dell’isola, la lunghezza della rete viaria, la necessità di salvaguardare la quiete dei Procidani ,oltre al sapore dell’aria profumata agli agrumi e al gelsomino che si mescola alla salsedine mista alla brezza che proviene di borghi di Corricella e Marina grande, consentono e impongono di progredire e procedere lungo la strada della salvaguardia e dell’ecologia. Come fare, imporre nel prossimo bando di gara mezzi a propulsione elettrica o ibrida e investimenti nelle infrastrutture per creare stazioni di ricarica. Mica tanto difficile o no?
La Luna, rappresenta una vera singolarità all’ interno del nostro Sistema Solare. Come satellite, infatti, è molto grande rispetto al pianeta intorno a cui ruota. Anche la sua formazione sembra essere non comune. Per molti anni si sono susseguite varie teorie circa la nascita di questo corpo celeste. Inizialmente si pensava che la Luna fosse stata generata dalla compattazione di materiale e detriti così come un normale pianeta, ma questa ipotesi è stata abbandonata. Secondo un’altra teoria, anche questa decaduta, la Luna si sarebbe formata in una regione dello spazio distante dalla Terra per poi essere attratta nell’orbita del nostro pianeta. Poi, considerando che la Luna si sta allontanando da noi di circa 3,5 cm all’anno, si pensva che ci fosse un legame con la riduzione della velocità di rotazione della Terra dato che, rispetto a 600 milioni di anni fa, il ‘giorno’ terrestre si è ‘allungato’ di circa 2 ore. L’ipotesi era che in passato la Terra ruotasse a una velocità talmente elevata da scaraventare fuori dal suo equatore del materiale che, una volta in orbita, si sarebbe compattato a formare la Luna. Ma si scoprì presto che la velocità della Terra, sia pur maggiore di quella di adesso, non avrebbe mai potuto “scagliare” in orbita tanto materiale. Finalmente negli anni ’70, grazie ai campioni lunari (risalenti a 4,5 miliardi di anni fa) riportati sulla terra dalle missioni Apollo è stata formulata dagli studiosi la teoria dell’ “IMPATTO GIGANTE”. Questa teoria ipotizza un impatto con la Terra di un corpo, delle dimensioni di Marte, chiamato THEIA. Questo impatto sarebbe avvenuto 34 milioni di anni dopo la formazione della Terra (avvenuta circa 4,5 miliardi di anni fa). Theia colpì la Terra distruggendosi e proiettando nello spazio e ammassandoli, sia i suoi frammenti sia una porzione notevole del mantello terrestre. La “proto-Terra”, nell’ impatto con Theia, avrebbe accelerato la sua velocità di rotazione riducendo il tempo di una sua rotazione (un giorno) a 4 ore rispetto alle 8 originali. Cieli sereni PG
La natura conquista spazio e facendosi aiutare da un agente patogeno si riappropria dei suoi spazi sempre più occupati dall’invasione umana. Ma anche l’uomo è parte della natura ed i suoi spazi, quelli predefiniti, gli appartengono per diritto naturale ed è la stessa natura che gli dona i mezzi: l’intelligenza, innanzitutto, che gli consente di fabbricarsi le armi per sconfiggere i suoi nemici, oltre alla capacità di consentire a quella macchina complessa che è il corpo umano di trovare da solo i rimedi per difendersi da chi cerca di sabotarlo.
Poiché,ahimè non sono uno “scientist”( Dio solo sa se mi sarebbe piaciuto esserlo) in questo momento sono solo un “observer” che comunica le sue osservazioni sperando che qualche scientist, fra i miei pochi e infedeli lettori, (Alberto,Paul, Vincenzo), possa approfondire su basi più solide e concrete di quelle che sono consentite al sottoscritto.
La prima osservazione si basa su un articolo comparso sul sito scientifico Medrxriv che riporto integralmente:
“The novel coronavirus disease-2019 (COVID-19) has been spreading around the world rapidly and declared as a pandemic by WHO. Here, we compared the ABO blood group distribution in 2,173 patients with COVID-19 confirmed by SARS-CoV-2 test from three hospitals in Wuhan and Shenzhen, China with that in normal people from the corresponding regions. The results showed that blood group A was associated with a higher risk for acquiring COVID-19 compared with non-A blood groups, whereas blood group O was associated with a lower risk for the infection compared with non-O blood groups. This is the first observation of an association between the ABO blood type and COVID-19. It should be emphasized, however, that this is an early study with limitations. It would be premature to use this study to guide clinical practice at this time, but it should encourage further investigation of the relationship between the ABO blood group and the COVID-19 susceptibility.”
II^ osservazione :
L’Italia del sud e la Grecia, nonostante alcune aree che sono le più altamente popolate d’Europa, sembrano siano le zone meno colpite d’Europa in termini di percentuale fra abitanti e infettati;
A determinare questi dati è stato certamente il lockdown, quindi il blocco tempestivo prima che il Covid-19 si diffondesse troppo, ma ad agevolare il contenimento del fenomeno ci potrebbero essere altre concause. Secondo il virologo Crisanti, infatti, è forte la speranza che possa aver inciso anche il clima, mentre il campano Perrella sostiene che la causa principale sia stata anche l’immunogenetica. A supporto della sua tesi quest’ultimo cita “uno studio del 2016 dell’Ateneo di Bologna che ha analizzato il Dna di 800 italiani originari di 20 province e ha evidenziato nell’Italia del Sud una risposta potenziata contro i batteri responsabili di tubercolosi e guerra”.
III osservazione
Il grafico di seguito riportato mostra una incidenza di soggetti aventi gruppo sanguigno A ( il più esposto al Covid secondol’articolo di MEDRXVIX del 44%mentre al Sud tale percentuale scende al 19%) Al sud la percentuale dei soggetti con Gruppo Sanguigno O, è del 41%..mentre in Grecia i la percentuale della popolazione con gruppo O è del 44% il gruppo A il 38%
Lungi da me l’idea di formulare qualsiasi ipotesi, intendo solamente condividere le mie osservazioni rivendicando la mia appartenenza ai popoli del Sud che sono secondo la suddivisione del Maestro di Vita e filosofo Luciano De Crescenzo epicurei piuttosto che stoici (oggi i popoli del nord nonostante il contagio spingono per tornare a lavorare mostrando che il fine della vita è il lavoro mentre per i popoli del sud non è che un mezzo per ottenere come fine la vita) Inoltre l’assolutismo stoico piuttosto che il dubbio epicureo ( I nordici Roberto Burioni che parlava di “rischio zero” per l’Italia e Galli che ha parlato di sperimentazione inutile del tocilizumab e il sudista Ascierto che, eroe del dubbio positivo, dice vabbè proviamo ).
Ieri sera in modo distratto, dopo il TG ed in attesa del mio amato Montalbano guardavo la trasmissione speciale coronavirus a cui partecipava tra l’altro uno dei politici anche noto come il cazzaro in verde…
Mai nomignolo fu più appropriato, visto l’enorme quantità di esternazioni fantasiose che riesce a confezionare in un nano secondo, esercizio che evidentemente gli è ben riuscito anche ieri sera quando dopo aver legittimamente evidenziato il merito del suo schieramento politico (ora all’opposizione)nell’approvazione delle misure di emergenza contro il covid 19, a precisa domanda del giornalista Sangiuliano su come far ripartire l’Italia superata la crisi attuale, sopratutto dal punto di vista economico, aggirando una risposta dovuta agli Italiani, rispondeva con la solita litania appena udita circa i danni subiti dagli artigiani, le babie-sitters – i commercianti, gli operai. Si, vabbè e allora che fare, Come creare nuove occupazioni , occasioni di sviluppo, ricchezza? Ma non è arte sua evidentemente fare analisi economiche serie,. le sue capacità sono quelle di prendere per imbecilli gli ascoltatori come quando (excusatio non petita accusatio manifesta) riferendosi alla foto che l’aveva immortalato in giro per Roma insieme alla sua compagna ha chiosato con la sua faccia da schiaffi :- anche io ho il diritto di andare a fare la spesa come tutti gli Italiani:.
Certo Onorevole, Lei ha i diritti di tutti gli Italiani ma io la spesa non la vado a fare in coppia e magari porto con me qualche borsa per ficcarci dentro le compre.
Balzi rossi, per chi non lo sapesse, è una località di un importanza storica incredibile, legata alla complessa storia del genere umano sin dalle origini. Situato sull’antica via Julia Aurelia che collegava l’antica Roma a Narbonne si trova nella parte Italiana della falesia che fa da frontiera tra la Francia e L’Italia, già confine del Principato di Monaco (e il Ducato di Nizza poi ) e la Repubblica di Genova. In questo luogo sono state trovati tracce di insediamento umano del paleolitico superiore e tombe contenenti scheletri appartenenti all’uomo sapiens della stessa tipologia di quelle scoperte a Cromagnon. Inoltre dal punto di vista naturistico e paesaggistico è unico e la falesia si affaccia su una spiaggetta di pietre lucide e acqua cristallina vero paradiso locale con alle spalle un sito museale gestito dai beni culturali.
Le grotte si aprono ai piedi di una imponente parete rocciosa di calcare dolomitico del Giurassico e sono divise in due gruppi dalla linea ferroviaria. Da occidente ad oriente i Balzi Rossi comprendono: la grotta di Conte Costantini, la grotta dei Fanciulli, la grotta di Florestano, la grotta del Caviglione a nord della ferrovia; la Barma Grande e la Barma du Bausu da Ture (distrutta da lavori di cava) a sud, infine la grotta del Principe ancora a nord. Le ricerche ai Balzi Rossi, avviate già nella prima metà dell’800, perdurano da due secoli. La loro ubicazione sul confine italo-francese ha fatto si che le indagini venissero condotte da equipe scientifiche a livello internazionale, purtroppo questo ha causato la dispersione di moltissimi reperti in diversi musei in Italia ed all’estero e in collezioni private.
L’importanza delle grotte fu riconosciuta da Sir Thomas Hanbury, che nel 1898 finanziò la costruzione di un edificio museale (l’attuale Museo vecchio) dove venne esposta la famosa “triplice sepoltura”. Una sepoltura paleolitica datata a 25.000 anni da oggi, che comprende gli scheletri di un Homo sapiens adulto e due giovani sepolti contemporaneamente e con un ricco corredo composto da lunghe lame di selce francese, conchiglie marine forate, vertebre di pesce, canini di cervo, pendagli in osso lavorato.
Vi assicuro è tutto molto bello e interessante e vale la pena effettuare più di una visita soffermandosi magari sui sentieri di accesso alle grotte dove hanno abitato i nostri progenitori e scrutando l’orizzonte dove sorge il sole e da dove i nostri nostri avi attendevano l’arrivo del Dio che ogni mattina attraverso il disco infuocato donava loro la luce e il calore necessario alla vita. Certo non potevano immaginare che migliaia di anni dopo questo sito, sacro per l’umanità, sacro come tutti quelli che hanno visto l’alba dei tempi e del genere umano ,potesse essere profanato da residenze estive per ricchi scemi, un ristorante sulla falesia e spiaggia attrezzate da da 50 euro a persona. Questo è il sacrilegio e siano additati come nemici del genere umano quelli che a tale sacrilegio hanno acconsentito.
Ho deciso di continuare a scrivere sul web dopo un momento di assenza che è stato necessario per comprendere cosa avvenisse nel mondo dei Trump, dei Brexit degli Indipendentisti catalani dei Gilet gialli e dei Podemos, e mi è sembrato ancora attuale un articolo di circa 18 mesi fa che ho piacere di riproporre, riservandomi delle considerazioni quando avrò capito come esattamente desiderano che il mondo giri i Gilet gialli, i Brexit, i Catalani e i Podemos . Ho solo capito che non sono contenti della loro vita, delle scelte politiche dei governanti e veramente incazzati. Ma cosa propongono di diverso? Eè facile incazzarsi ( e io ne so qualcosa) ma quello che è difficile è rimanere lucidi nelle avversità e capire cos fare per progredire. Di Trump invece mi è tutto chiaro, in modo del tutto umano e comprensibile fa solo ed esclusivamente i suoi interessi che se coincidono con quelli degli Stati Uniti Ok se no chi se ne frega…
Sono passati tanti indecenti giorni dalle ultime elezioni senza che gli eletti abbiano avuto la capacità di formare un governo con vari intrecci e possibilità tutte schive da ogni e qualsiasi ideologia e più o meno convergenti verso interessi economici o clientelari.
All’alba del xx secolo quando le ideologie si affermavano sulla base di differenti visioni economiche sociali nascevano anche nuove idee che passando anche attraverso fatti tragici alla fine ci hanno guidato verso un evoluzione delle dialettiche ideologiche fino a che l’affermarsi di una di essa sulle altre non è stata causa di degenerazione causando la caduta del confronto critico e l’appiattimento involutivo dei valori.
Lungi da me l’idea di fare un discorso politico di parte ma una volta esisteva un ideale liberale antagonista del socialismo, per una, I mezzi di produzione della ricchezza dovevano essere nelle mani dei privati per l’altra nelle mani dello Stato ; poi intervennero le ideologie, staliniste, nazionalsocialiste e fasciste che a fianco di politiche sociali forti per le popolazioni locali ponevano dei principi di autonomia e autarchia basata su valori etici egoistici che sono stati alla base della 2 guerra mondiale.
Dopo anni di redenzione in cui l’ occidente ha cercato di guardare al futuro con un occhio al passato al fine di non ripetere errori fatali, con il tentativo di evolvere il pensiero politico con ideologie evolutive e correttive in senso moderato di quelle originali (repubblicani, socialdemocratici, democristiani missini etc) l’ affermazione assoluta del capitalismo, che comunque è produttivo di ricchezza, sulle altre ideologie, ha causato la sua deriva con un consumismo eccessivo e un accumulo di ricchezza nelle mani di una percentuale molto bassa di individui che tirano le fila e controllano la politica e l’economia: l’ oligarchia, forma di governo che fu la fine delle democrazie delle vecchie polis.
La politica dovrebbe continuare a basarsi sulla forza delle idee e consentire un governo democratico indipendente dal potere economico garentando a tutti pari opportunità nel conseguimento dei bisogni primari non dimenticando che esiste una differenza fondamentale tra essere cittadini e sudditi.